Au printemps 1992, aux alentours de Pâques, alors qu'il était très malheureux, sur les plans émotionnel et professionnel, et qu'il lui semblait que sa vie était un échec à tous les niveaux, Neale Donald Walsch qui se pose une foultitude de questions, entre en conversations avec Dieu. Un livre qui offre des réponses applicables par le plus grand nombre dans la vie quotidienne, car comme l'écrit, l'Auteur, dans le premier chapitre : "Dieu s'est mis à vous parler. A travers moi.". Un succès immense, des millions d’exemplaires vendus dans le monde, traduit dans 23 langues… Ce succès s'explique peut-être par le fait que chacun-e de nous sait, qu'au plus profond de lui, est une porte qui lui permet d'accéder à son Soi Supérieur ou Divin, sa Présence Je Suis, son Être EssenCiel et éTERnel et de converser avec Dieu. Voici un morceau choisi, extrait du chapitre 4 de ce livre qui a transformé la vie de milliers de personnes, et, qui fait aussi référence à un autre ouvrage facilitateur de développement personnel et spirituel : Un Cours En Miracles. " Ouf ! Tu m'inspires ! Eh bien, si Dieu ne peut pas t'inspirer, qui diable peut le faire ? Es-tu toujours aussi désinvolte ? Ce n'était pas de la désinvolture. Relis la phrase. Oh. Je vois. Oui. Mais ça ne t'ennuierait pas que Je sois désinvolte, hein ? Je ne sais pas. D'habitude, mon Dieu est un peu plus sérieux. Eh bien, rends-Moi service, et n'essaie pas de Me confiner. D'ailleurs, rends-toi le même service. Il s'avère tout simplement que J'ai un grand sens de l'humour. Je dirais qu'il faut bien en avoir un quand on voit ce que vous avez tous fait de la vie, non? C'est-à-dire que parfois, Je ne peux qu'en rire. Mais ça va, car tu vois, Je sais que tout finira bien. Que veux-Tu dire ? Je veux dire qu'on ne peut pas perdre à ce jeu. On ne peut mal jouer. Ça ne fait pas partie du plan. Tu ne peux pas ne pas arriver là où tu vas. Tu ne peux pas rater ta destination. Si Dieu est ta cible, tu as de la chance, car Dieu est si grand qu'on ne peut pas le manquer. C'est la grande inquiétude, bien entendu. La grande inquiétude, c'est que, d'une façon ou d'une autre, nous fassions des bêtises et n'arrivions jamais à Te voir, à être avec Toi. Tu veux dire à «aller au ciel» ? Oui. Nous avons tous peur d'aller en enfer. Alors, si tu as adopté cette position au départ, c'est pour éviter d'y aller. Hmmm. Intéressante stratégie. Te revoilà désinvolte. Je ne peux m'en empêcher. Toute cette histoire d'enfer réveille en Moi les pires instincts ! Bon sang, Tu es un véritable humoriste ! Il t'a fallu tout ce temps pour découvrir ça ? As-tu jeté un coup d'oeil sur le monde dernièrement ? Ce qui m'amène à une autre question. Pourquoi est-ce que Tu ne répares pas le monde, au lieu de le laisser aller au diable ? Et toi, pourquoi ne le fais-tu pas ? Je n'en ai pas le pouvoir. Sottises. Tu as le pouvoir et la capacité, tout de suite, en ce moment même, de mettre fin à la faim dans le monde, de guérir les maladies, immédiatement. Et si Je te disais que ta propre profession médicale interdit des remèdes, refuse d'approuver des médecines et des procédures alternatives parce qu'elles menacent la structure même de la profession qui «guérit» ? Et si Je te disais que les gouvernements du monde ne veulent pas mettre fin à la faim dans le monde ? Me croirais-tu ? J'ai du mal à croire cela. Je sais que c'est la vision populiste, mais je ne peux pas croire que ce soit vrai. Aucun médecin ne veut refuser un remède. Aucun homme d'État ne veut voir mourir son peuple. Aucun individu qui soit médecin, c'est vrai. Aucun homme d'État en particulier, c'est vrai. Mais la pratique médicale et politique est devenue institutionnalisée et ce sont les institutions qui combattent ces choses, parfois de façon très subtile, parfois même sans le savoir, mais inévitablement... parce que pour ces institutions, c'est une question de survie. Alors, seulement pour te donner un exemple très simple et très évident, les médecins occidentaux "nient l'efficacité thérapeutique des médecins orientaux car les accepter, admettre que certaines modalités alternatives puissent juste un peu guérir, ce serait déchirer la trame même de l'institution telle qu'elle s'est structurée. Ce n'est pas malveillant, mais c'est insidieux. La profession ne fait pas cela parce qu'elle est mauvaise. Elle le fait parce qu'elle a peur. Toute attaque est un appel à l'aide. J'ai lu ça dans Un Cours en miracles. C'est Moi qui l'ai mis là. Dis donc, Tu as réponse à tout. Ce qui Me rappelle que nous avons seulement commencé à examiner tes questions. Nous étions en train de discuter de la façon de remettre ta vie sur la bonne voie, de lui faire «prendre son envol». J'étais en train de t'exposer le processus de la création. Oui, et je n'ai pas cessé de T'interrompre. Ça va, mais revenons un peu en arrière, car nous ne voulons pas perdre le fil de quelque chose d'aussi important. La vie est une création et non une découverte. Tu ne vis pas chaque jour pour découvrir ce qu'il te réserve, mais pour le créer. Tu crées ta réalité à chaque minute, probablement sans le savoir. Voici pourquoi il en est ainsi et comment ça fonctionne. 1. Je t'ai créé à l'image et à la ressemblance de Dieu. 2. Dieu est le créateur. 3. Tu es trois êtres en un. Ces trois aspects de l'être, tu peux les appeler comme tu veux : Père, Fils et Saint Esprit; esprit, corps et âme; supraconscient, conscient, subconscient. 4. La création est un processus qui se déroule à partir de ces trois parties de ton corps. Autrement dit, tu crées à trois niveaux. Les outils de la création sont : la pensée, la parole et l'action. 5. Toute création commence par la pensée («Vient du Père»). Toute création passe alors à la parole («Demandez et vous recevrez, parlez et on vous répondra.»). Toute création s'accomplit par des actions («Et le Verbe s'est fait chair, et Il a habité parmi nous.») 6. Ce que tu penses, mais dont tu ne parles jamais par la suite, crée à un certain niveau. Ce que tu penses et dont tu parles, crée à un autre niveau. Ce que tu penses, dont tu parles et que tu fais, se manifeste dans ta réalité. 7. II t'est impossible de penser, de parler et de faire une chose à laquelle tu ne crois pas vraiment. Par conséquent, le processus de création comprend la foi, ou la connaissance. C'est la foi absolue. C'est au-delà de l'espoir. C'est le fait de savoir une certitude («Par ta foi, tu seras guéri»). Par conséquent, la partie «faire» de la création comprend toujours la connaissance. C'est une intuition claire, une certitude totale, une acceptation complète de quelque chose en tant que réalité. 8. Cet espace de connaissance est un espace d'intense et d'incroyable gratitude. C'est le fait d'être reconnaissant à l'avance. Voilà, peut-être, la plus grande clé de la création : être reconnaissant avant la création et pour elle. Ainsi, il est non seulement permis, mais encouragé, de prendre la chose pour acquise. C'est le signe infaillible de la maîtrise. Tous les Maîtres savent à l'avance que le tout est déjà accompli. 9. Célèbre et apprécie tout ce que tu crées ou as créé. En rejeter une partie, c'est rejeter une part de toi-même. Tout ce qui se présente maintenant comme une part de ta création, assume-le, réclame-le, bénis-le, sois-en reconnaissant. Ne cherche pas à le condamner («Que Dieu le maudisse!»), car le condamner, c'est te condamner toi-même. 10. S'il y a un aspect de la création que tu n'apprécies pas, bénis-le et change-le, tout simplement. Fais un nouveau choix. Proclame une nouvelle réalité. Conçois une nouvelle idée. Prononce une nouvelle parole. Fais quelque chose de neuf. Fais-le d'une façon merveilleuse et le reste du monde te suivra. Demande-le-lui. Interpelle-le. Dis : «Je suis la Vie et la Voie, suivez-moi.» Voilà comment manifester la volonté de Dieu «sur la Terre comme au Ciel». Si c'est aussi simple que cela, si ces dix étapes sont suffisantes, pourquoi est-ce que ça ne fonctionne pas ainsi pour la plupart d'entre nous? C'est vraiment ainsi que ça fonctionne, pour vous tous. Certains d'entre vous utilisent ce «système» de façon consciente, en toute conscience, et certains d'entre vous l'utilisent inconsciemment, sans même savoir ce qu'ils font. Certains d'entre vous marchent éveillés, et certains d'entre vous marchent en somnambules. Mais vous êtes tous en train de créer votre réalité (de la créer et non de la découvrir) en utilisant le pouvoir que Je vous ai donné et le processus que Je viens de décrire. Alors, tu as demandé à quel moment ta vie allait «prendre son envol», et Je t'ai donné la réponse. La première façon de faire «décoller» ta vie, c'est d'y penser de façon très lucide. Pense à ce que tu veux être, faire et avoir. Penses-y souvent jusqu'à ce que ce soit très clair pour toi. Alors, quand ce sera très clair, ne pense plus à rien d'autre. N'imagine aucune autre possibilité. Débarrasse-toi de toutes tes pensées négatives, de tes constructions mentales. Abandonne tout pessimisme. Délaisse tous les doutes. Rejette toutes les peurs. Entraîne ton esprit à s'accrocher à la pensée créative originale. Lorsque tes pensées seront claires et solides, commence à les exprimer comme des vérités. Dis-les tout haut. Utilise la grande commande qui provoque le pouvoir créatif «Je suis». Fais aux autres des affirmations du type «Je suis». «Je suis» est l'affirmation créatrice la plus puissante de l'univers. Tout ce que tu penses, tout ce que tu dis, après les mots «Je suis», déclenche ces expériences, les invoque, te les amène. L'univers ne connaît aucune autre façon de fonctionner. II ne sait prendre aucune autre route. L'univers répond à «Je suis» comme le génie de la lampe. Tu dis : «Écarte tous les doutes, rejette toutes les peurs, abandonne tout pessimisme» comme si Tu disais : «Apporte-moi un pain». Mais ces choses sont plus facile à dire qu'à faire. Dire «Rejette toutes les pensées négatives de tes constructions mentales», c'est comme dire «Grimpe le mont Everest cet avant-midi». C'est une commande plutôt forte. Harnacher tes pensées, exercer un contrôle dessus, n'est pas aussi difficile qu'il n'y paraît. (Pas plus, d'ailleurs, que de grimper le mont Everest.) C'est une question de discipline. C'est une question d'in-tention. La première étape consiste à observer tes pensées, à penser à ce à quoi tu penses. Lorsque tu te surprends en train d'avoir des pensées négatives (des pensées qui nient l'idée la plus élevée que tu te fais de quelque chose), repenses-y! Je veux que tu le fasses littéralement. Si tu as l'impression de broyer du noir, d'être dans de beaux draps et de ne rien pouvoir en tirer de bon, repenses-y. Si tu crois que ta vie est en train de s'effondrer, et que tu ne crois pas pouvoir la remettre en place, repenses-y. Tu peux t'entraîner à le faire. (Vois comme tu t'es entraîné à ne pas le faire!) Merci. On ne m'a jamais exposé le processus aussi clairement. J'aimerais que ce soit aussi facile à faire qu'à dire, mais au moins, à présent, je le comprends clairement, je crois. Eh bien, si tu as besoin d'une révision, nous avons plusieurs vies." |
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