Un traumatisme psychologie dans l’enfance peut laisser une cicatrice génétique chez l’adulte. La trace de ce traumatisme survit à chaque division cellulaire et se transmet jusqu’à trois générations au moins.
L’association entre maltraitance infantile et certaines pathologies adultes résultent d’une modification chimique de l’ADN. C’est ce qui a été récemment démontré par le groupe de recherche du Professeur Alain Malafosse, du Département de psychiatrie de l’UNIGE (Université de Genève), en collaboration avec le Département de génétique et de développement, dont les travaux sont publiés dans la revue
Transnational Psychiatrie.
La biologie moderne, spécialement la génétique, étudie depuis longtemps l’ADN. La théorie TGD ou géométro-dynamique topologique du physicien finlandais Matti Pitkänen qui établit un lien entre la physique et la conscience ; la théorie sur les champs morphogénétiques biologiste britannique Rupert Sheldrake ; les observations du biologiste moléculaire, Dr Pjotr Garjajev et de son équipe de chercheurs interdisciplinaires de l’Académie des Sciences de Moscou, qui démontrent que l’ADN communique dans l’univers ; les résultats des expériences de Gregg Braden qui montrent que la forme de l’ADN change en fonction des états émotionnels de l’expérimentateur ; apportent une autre vision de l’ADN.
Contrairement à ce que l’on nous a raconté pendant des années, les codes existant dans l’ADN, ne sont pas seulement utilisés pour construire des protéines dans notre corps, mais plutôt pour l’hyper communication. Comme ont pu l’établir les savants russes, le langage et les langues sont des éléments majeurs du processus. ADN et langage seraient les deux termes d’une relation réciproque, et l’ADN réagirait au langage.
Les expérimentations scientifiques corroborent ce que traditions ancestrales et enseignements ésotériques ou spirituels transmettent depuis des éons.
L’essentiel est de savoir que ces traces ou cicatrices au niveau de l’ADN, responsables de dysfonctionnements ou de maladies, peuvent s’effacer, comme l’indique la journaliste en fin de reportage. C’est ce qui est proposé entre autres, durant les formations Shamballa MDH™, et tout particulièrement durant les 4 jours du stage
Maître Praticien Shamballa 13D, qui comprend nettoyages, activations, reprogrammation de l’ADN.
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